La belle foi de la soumission sans la peur
De Livres et Prédications Bibliques.
Par John Piper
À Propos de Mariage
Partie de la série : Marriage, Christ, and Covenant: One Flesh for the Glory of God
Traduction par Virginie Janvier
Partie 1 Pierre 3:1-6 De même, femmes, soyez soumises à vos maris, pour que même si certaines n'obéissent pas à la parole, ils puissent être conquis sans prononcer le moindre mot par la conduite de leur femme, 2 lorsqu'ils voient votre conduite respectueuse et pure. 3 Ne laissez pas apparaitre votre ornement : le tressage de vos cheveux et le fait de porter des bijoux en or, ou les vêtements que vous portez— 4 mais laissez votre ornement pour qu'il soit la face cachée de votre coeur avec la beauté impérissable d'un esprit doux et paisible, qui, aux yeux de Dieu est très précieux. 5 Car ceci est la manière dont les femmes saintes qui espéraient dans Dieu, avaient l'habitude de se parer, en se soumettant à leur propre mari, 6 comme le faisait Sarah en obéissant à Abraham, en l'appelant seigneur. Et vous êtes ses enfants, si vous faites le bien et si vous n'avez pas peur de quoi que ce soit qui soit effrayant.
Nous continuons dans la série du mariage, et aujourd'hui nous nous focalisons sur ce que cela signifie pour une femme d'être soumise à son mari. J'attends avec impatience que les hommes et les femmes, les célibataires et les personnes mariées, les personnes âgées et les jeunes (y compris les enfants) voient ceci comme un appel vers quelque chose de fort, de noble, de beau, de digne et qui valorise les efforts les plus grands en termes de morale et de spiritualité chez une femme.
Pour préparer la scène à cet effet, remarquez deux phrases dans la partie 1 Pierre 3:1 : «De même, femmes, soyez soumises à vos propres maris.» Remarquez le mot propre dans «vos propres maris». Cela signifie qu'il existe une soumission unique envers vos propres maris qui ne correspond pas aux rapports que vous avez avec les autres hommes. Vous n'êtes pas amenées à vous soumettre à tous les hommes de la même façon que vous le faites avec votre mari. Puis remarquez la phrase du début : «De même, femmes». Ceci signifie que l'appel à la soumission de la femme mariée fait partie d'un appel plus important venant des chrétiens de différentes manières.
Tout d'abord partie Pierre 2:13-3:12
Dans la partie 1 Pierre 2:13-17, Pierre nous réprimande tous d’être soumis, pour l'amour du Seigneur, envers chaque institution humaine, que ce soit envers l'empereur en tant qu'être suprême, ou envers des gouverneurs mis au pouvoir par lui. En d'autres termes, respectez les limites de vitesse, payez vos impôts, et soyez respectueux envers les policiers et les sénateurs.
Puis dans le verset 2:18-25, Pierre s'adresse aux domestiques de maison (serviteurs) dans l'église et les réprimande d'être soumis à leur patron avec tout le respect, qu'il soit gentil et autoritaire.
Puis, dans la partie 3:1–6, Pierre enseigne aux femmes mariées d'être soumises à leur mari, y compris au mari qu'on ne croit pas être comme ça. C'est la partie sur laquelle nous nous focalisons, comme la partie de notre série sur le mariage.
Puis, dans le verset 7, il enseigne aux maris de vivre en considérant leur femme comme des cohéritiers de la grâce de la vie.
Pour finir, dans la partie 3:8-12, Pierre dit à l'église tout entière que nous devons être unis, avoir pitié, aimer, être attendrissants et être humbles envers les autres, et ne pas retourner le mal par le mal. En d'autres termes, soumettez-vous les uns aux autres et servez-vous les uns aux autres. Donc, comme nous l'avons vu dans le verset 5 des Éphésiens, la soumission est une vertu chrétienne plus importante pour chacun d'entre nous qu’il faut chercher, et elle s'exprime d'une manière unique et appropriée aux différentes relations. Aujourd'hui nous nous focalisons sur le rapport entre une femme et son mari. À quoi ressemble la soumission ici ?
Le portrait puissant de Pierre concernant la féminité
Avant que je décrive ce que la soumission est et ce qu'elle n'est pas, observons pendant quelques minutes le puissant portrait de la féminité que Pierre nous dépeint avec ces mots. Ce que nous voyons ce sont des origines de la féminité bien ancrées sous le fruit de la soumission. Ce sont les origines qui font de la soumission une chose solide et belle.
Commençons avec le verset 5 : «Ceci est la manière dont les femmes chrétiennes qui espéraient dans Dieu, se paraient, en se soumettant à leur propre mari.»
L'origine la plus enfouie de la féminité : L'espoir dans Dieu
L'origine la plus enfouie de la féminité chrétienne mentionnée dans ce texte est l'espoir dans Dieu. «Les femmes chrétiennes qui espéraient en Dieu.» Une femme chrétienne n'attend rien de son mari, ou n'espère pas avoir un mari. Elle n'attend rien de son apparence physique. Elle porte son espoir sur les promesses de Dieu. Elle est décrite ainsi dans les proverbes 31:25: « Force et dignité sont ses vêtements, et elle se moque du futur.» Elle se moque de tout ce que l'avenir lui apportera et peut lui apporter, car elle espère dans Dieu.
Elle détourne son regard des problèmes, de la misère et des obstacles de la vie qui semblent rendre l'avenir sombre, et elle fixe son attention sur le pouvoir souverain de l'amour de Dieu qui règne dans les cieux et fait sur la terre ce qui lui plaît. Elle connaît sa Bible, et elle connaît sa théologie de la souveraineté de Dieu, et elle connaît la promesse de Dieu qu'il fera et qui l'aidera à être plus forte quoi qu'il en soit. Ceci est l'origine profonde et inébranlable de la féminité chrétienne. Et Pierre l’explique dans le verset 5. Il ne parle pas seulement de toutes les femmes. Il parle des femmes aux racines bibliques inébranlables dans la bonté souveraine de Dieu : les femmes chrétiennes qui espèrent dans Dieu.
Intrépidité
Le point suivant à voir concernant la féminité chrétienne après l'espoir dans Dieu est l'intrépidité de ces femmes. Ainsi, le verset 5 dit que les femmes chrétiennes d'un certain âge espéraient dans Dieu. Et puis le verset 6 donne Sarah, la femme d'Abraham, comme exemple et puis se réfère à toutes les autres femmes chrétiennes en tant que ses filles. Verset 6b : « Et vous êtes ses enfants, si vous faites le bien et si vous n'avez pas peur de quoi que ce soit qui soit effrayant.»
Ainsi ce portrait de la féminité chrétienne est d'abord marqué par l'espoir dans Dieu et puis ce qui s'élève hors de cet espoir, à savoir, l'intrépidité. Elle ne craint pas l'avenir; elle se moque de l'avenir. La présence de l'espoir dans l'invincible souveraineté de Dieu l’amène à chasser la peur. Ou pour le dire avec plus d'attention et d'une manière réaliste, les filles de Sarah combattent l'anxiété qui s'élève dans leur coeur. Elles font la guerre à la peur, et elles la vainquent avec l'espoir dans les promesses de Dieu.
Les femmes mûres chrétiennes savent que suivre le Christ entraîne la souffrance. Mais elles croient aux promesses comme dans le verset 1 Pierre 3:14, «Mais même si vous devez souffrir pour l'amour de la vertu, vous serez bénies. N'ayez pas peur d'elle, ne soyez pas préoccupées non plus,» et le verset 1 Pierre 4:19, «Par conséquent laissez celles qui souffrent selon la volonté de Dieu, qu’elles livrent leur âme au Créateur fidèle en faisant le bien.»
C'est ce que les femmes chrétiennes font : elles livrent leur âme au Créateur fidèle. Elles espèrent dans Dieu. Et elles triomphent sur la peur.
Focalisation sur l'ornement intérieur
Et ceci conduit à une troisième caractéristique du portrait de Pierre concernant la féminité, la focalisation sur l'ornement intérieur plutôt qu'extérieur. Tout d'abord, la partie Pierre 3:5 commence ainsi, «C'est la manière dont les femmes chrétiennes qui espéraient dans Dieu se paraient.» Cet ornement renvoie à ce qui est décrit dans les versets 3-4 :
Ne laissez pas votre ornement apparaitre : le tressage de vos cheveux et le fait de porter des bijoux en or, ou les vêtements que vous portez. Mais laissez votre ornement pour qu'il soit la face cachée de votre coeur avec la beauté impérissable d'un esprit doux et paisible, qui aux yeux de Dieu est très précieux.
Nous savons que ceci ne signifie pas que tous les bijoux et toutes les coiffures sont exclus parce qu'alors tous les vêtements seront exclus également, parce qu'on dit, «ne laissez pas votre ornement apparaitre . . . les vêtements que vous portez.» Ce qu'il veut dire est la chose suivante : ne portez pas votre attention et vos efforts essentiellement sur la manière dont vous regardez vers l'extérieur ; focalisez-vous sur la beauté intérieure. Faites plus d'efforts et occupez-vous plus de la beauté intérieure que de celle qui est plus extérieure.
Et il le précise dans le verset 4. Lorsqu'une femme met ses espoirs dans Dieu et non pas dans son mari et dans son apparence, et lorsqu'elle dépasse sa peur grâce aux promesses de Dieu, ceci aura un effet sur son cœur : ceci lui apportera une paix intérieure. C'est ce que Pierre veut dire dans le verset 4 par «la beauté impérissable d'un esprit doux et paisible, qui aux yeux de Dieu est très précieux.»
Un cas unique de soumission
Qui laisse une caractéristique supplémentaire à ce portrait de la féminité à voir. Tout d'abord, il y a eu de l'espoir dans Dieu. Ce qui conduit alors à l'intrépidité face à ce que l'avenir peut apporter. Ce qui conduit alors à une paix intérieure et à l'humilité. Et, finalement, que l'esprit s'exprime dans un genre unique de soumission envers son mari. Verset 1 : «De même, femmes, soyez soumises à vos propres maris.» Verset 5 : «C'est la manière dont les femmes chrétiennes qui espéraient dans Dieu se paraient, en se soumettant à leur propre mari.»
C'est un bref aperçu du portrait du type de femme que Pierre a en tête quand il appelle une femme à être soumise à son mari. L'espoir inébranlable dans Dieu. Courage et intrépidité face à un avenir quelconque. Tranquillité paisible de l'âme. Humble soumission face aux qualités de chef de famille de son mari.
C'est une grande tristesse de voir que dans notre société moderne, même dans l'église, les rôles différents et complémentaires des chefs de la Bible pour le mari et la soumission biblique pour la femme sont méprisés ou simplement dépassés. Certaines personnes se contentent de les radier à titre de vestiges culturels sous-chrétiens venant du premier siècle. D'autres les déforment et en abusent. Je suis en réalité assise à mon bureau avec un mari qui une fois de plus croyait que la soumission signifiait que sa femme ne doit pas aller d'une pièce à une autre de la maison sans lui demander la permission. Ce type de déformation pathologique permet aux personnes de se passer des textes comme ceux de la Bible plus facilement.
Mais les véritables direction et soumission se trouvent vraiment ici et elles sont réellement belles. Quand vous voyez qu'on vivait sans la marque de la majesté du Christ sur elle, la mutualité de la servitude sans annuler la réalité de la direction et de la soumission. C'est une tragédie merveilleuse et très satisfaisante. Réfléchissons donc à partir de ce texte de ce que la soumission n'est pas, et ce qu'elle signifie alors.
Ce que la soumission n'est pas
Voici six choses sur lesquelles elle ne se base pas dans le verset 1 Pierre 3:1-6.
1. La soumission ne signifie pas être d'accord avec tout ce que dit votre mari.Vous pouvez voir dans le verset 1 : elle est chrétienne et il ne l'est pas. Il a tout un ensemble d'idées concernant la réalité finale. Elle a d’autres idées. Pierre l'appelle à être soumise tout en supposant qu'elle ne se soumettra pas à sa vision qui est la plus importante chose du monde—Dieu. Alors, la soumission ne peut pas signifier se soumettre pour être en d'accord avec toutes les pensées de son mari.
2. La soumission ne veut pas dire laisser votre cerveau ou votre volonté devant l'autel lors de la cérémonie de mariage. Ce n'est pas de l'incapacité ou la réticence à penser par vous-même. Voici une femme qui a entendu l'Évangile de Jésus-Christ. Elle a pensé à l'Évangile. Elle a évalué les véritables revendications de Jésus. Elle a appréhendé dans son coeur la beauté et la valeur du Christ et de son travail, et elle s'est rapprochée de lui. Son mari l'a également entendu. Sinon, Pierre n'aurait probablement pas dit qu'il «désobéissait à la parole.» Il a entendu la parole, et il a pensé à elle. Et il n'a pas choisi le Christ. Elle a pensé par elle-même et elle a agi. Et Pierre ne lui a pas dit de se retirer de cet engagement.
3. La soumission ne veut pas dire éviter de faire tous les efforts possibles pour changer de mari. Le problème de ce texte repose entièrement sur le fait de raconter à la femme la manière de «gagner» son mari. Le verset 1 dit, «Soyez soumise à votre propre mari, pour que même si certains n'obéissent pas au mot, ils soient susceptibles d'être gagnés sans un mot en menant leur femme.» Si vous ne prêtez pas d'attention à la Bible, vous pourriez dire, «La soumission doit signifier de prendre un mari comme il est et de ne pas essayer de le changer.» Mais si vous croyez en la Bible, vous concluez que la soumission est quelquefois, paradoxalement, une stratégie pour le changer.
4. La soumission ne signifie pas placer la volonté du mari avant celle du Christ. Le texte montre clairement que la femme est le disciple de Jésus par-dessus et avant tout d'être le disciple de son mari. La soumission envers Jésus relativise la soumission envers les maris et envers les gouvernements, les employeurs et les parents. Lorsque Sarah appelait Abraham «seigneur» dans le verset 6, c'était seigneur avec un s minuscule. C'est comme «monsieur» ou le «s de seigneur.» Et l'obéissance qu'elle a présentée est qualifiée d'obéissance parce que son allégeance suprême est au Seigneur avec un S majuscule.
5. La soumission ne veut pas dire qu'une femme obtient sa propre force spirituelle en premier lieu à travers son mari. Un bon mari doit en effet se renforcer, se construire et soutenir sa femme. Il doit être une source de force. Mais ce que ce texte montre est que lorsqu'il n'y a pas de leadership spirituel du mari, une femme chrétienne n'est pas dépourvue de force. La soumission ne veut pas dire qu'elle est dépendante de lui pour lui donner la force de la foi, la vertu et de la personnalité. En fait, le texte suppose tout le contraire. Elle est appelée à développer le caractère profond, la force et la personnalité non pas de son mari, mais pour son mari. Le verset cinq dit que son espérance se trouve dans Dieu dans l'espoir que son mari la rejoigne là-bas.
6. Finalement, la soumission ne veut pas dire qu'une femme doit agir sans la peur. Le verset 6b dit, «Vous êtes les enfants de Sarah, si vous faites le bien et si vous n'avez peur de quoi que ce soit qui soit effrayant.» En d'autres termes, la soumission est libre, elle n'est pas contrainte à la peur. La femme chrétienne est une femme libre. Lorsqu'elle se soumet à son mari, qu'il soit croyant ou non, elle le fait en toute liberté, et non pas par peur.
Ce que la soumission est
Si c'est ce que la soumission n'est pas, alors qu'est-ce que c'est ? J'ai proposé il y a deux semaines à partir du verset 5 des Éphésiens ce qui est également vrai ici : la soumission est l'appel divin d'une femme pour honorer, soutenir le leadership de son mari et pour aider à le mener à bien à travers et selon ses dons. C'est le dispositif pour suivre l'autorité du mari et un penchant pour céder à son leadership. C'est une attitude qui dit, «Je me réjouis pour vous de prendre l'initiative dans notre famille. Je suis heureuse quand vous prenez la responsabilité des choses et quand vous les menez avec amour. Je ne m'épanouis pas dans la relation lorsque vous êtes passif et quand je dois m'assurer que la famille travaille.»
Mais la soumission ne suit pas un mari dans le péché. Que dit la soumission dans cette situation ? Il est dit, «Cela m'attriste lorsque vous vous aventurez dans des actes remplis de péchés et que vous voulez m'emmener avec vous. Vous savez que je ne peux pas faire cela. Je n'ai aucune envie de vous résister. Au contraire, je m'épanouis plus lorsque je peux répondre joyeusement à vos ordres; mais je ne peux pas vous suivre dans le péché, tant que j'aime honorer votre leadership dans notre mariage. Le Christ est mon Roi.»
La raison pour laquelle je dis que la soumission est un dispositif et un penchant à suivre les ordres du mari est parce que ce sera le cas dans un mariage chrétien lorsque la femme la plus soumise, avec de bonnes raisons, hésitera à suivre la décision du mari. Cela peut sembler imprudent par rapport à elle. Imaginons que c'est Noël et moi qui soyons sur le point de décider quelque chose pour la famille qui semble être insensé par rapport à elle. À ce moment-là, Noël pourrait exprimer sa soumission de la manière suivante : «Johnny, je sais que vous avez pensé beaucoup à ceci, et que vous aimez lorsque vous prenez l'initiative de planifier pour nous et quand vous prenez la responsabilité comme ceci, mais je ne suis pas réellement en paix concernant cette décision et je pense qu'il est nécessaire de parler davantage de ceci. Pouvons-nous en parler ? Peut-être ce soir ?»
La raison que ce soit une sorte de soumission est 1) parce que les maris, contrairement au Christ, sont faillibles et qu'ils doivent l'admettre ; 2) parce que les maris doivent vouloir que leur femme soit enthousiaste quant aux décisions de la famille, puisque le Christ veut que l'église soit satisfaite concernant le suivi de ses décisions et non pas qu'elle le fasse à contrecoeur; 3) parce que la façon dont Noël exprime clairement ses doutes qu'elle approuve mon leadership et qu'elle me soutienne dans mon rôle en tant que chef de famille; et 4) parce qu'elle m'a rendu les choses plus claires depuis le début de notre mariage que si, lorsque nous aurions fait toutes les choses que nous aurions dû faire lors de nos discussions, nous restons en désaccord, elle s'en remettra à la décision de son mari.
L'objectif : Faire perdurer la Sainte joie
Ainsi, je termine en rappelant que le mariage ne signifie pas uniquement de rester amoureux. Il s'agit de rester engagé. Et la principale raison de rester engagé est que Dieu a créé le rapport entre un mari et sa femme pour représenter la relation entre le Christ et l'église. C'est la signification la plus importante du mariage. Et c'est pourquoi finalement les rôles de chef de famille et de soumission sont si importants. Si nos mariages vont raconter la vérité concernant le Christ et son église, nous ne pouvons pas être indifférents à ce que signifient chef de famille et soumission. Et ceci ne va pas sans dire que l'objectif de Dieu pour l'église et pour la femme qui représente, est de faire perdurer sa Sainte joie. Le Christ est mort pour eux, pour leur apporter ceci.