Une Bonne Nouvelle… Sujet d’une Grande Joie…/19 Décembre: Noël, Synonyme de Libération

De Livres et Prédications Bibliques.

Version du 5 décembre 2013 à 13:35 par Pcain (discuter | contributions)
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« Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, lui aussi, d'une manière semblable y a participé, afin d'écraser par sa mort celui qui détenait le pouvoir de la mort, c'est-à-dire le diable, et de délivrer tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans l'esclavage » —Hébreux 2 : 14–15.

Jésus s'est fait homme. Pourquoi ? Parce que la mort d’un homme était exigée. Et Jésus était plus qu’un homme. Jésus était Dieu incarné « s’enfermant lui-même dans le couloir de la mort ».

Christ n’a pas été exposé involontairement à la mort. Il l’a subie volontairement. C'est pour cette raison précise qu’Il est venu : non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup (Marc 10 : 45).

Il n’est pas étonnant que Satan ait essayé de détourner Jésus de la croix ! La croix a été la destruction de Satan. Comment Jésus a-t-il détruit Satan ?

Le « pouvoir de la mort » est la capacité de rendre la mort effrayante. Le « pouvoir de la mort » est le pouvoir qui retient les hommes esclaves par crainte de la mort. C'est le pouvoir de garder les hommes dans le péché, pour que la mort survienne comme une chose horrible.

Mais Jésus a dépouillé Satan de ce pouvoir. Il l’a désarmé. Il a façonné une cuirasse de justice pour nous. Et cette cuirasse nous immunise contre la condamnation du diable.

Par sa mort, Jésus a effacé tous nos péchés. Et une personne sans péché réduit Satan à l’impuissance. Sa trahison est avortée. Sa traîtrise cosmique est déjouée. «Sa fureur, nous pouvons l’endurer, car voyez-vous, certaine est sa condamnation». La croix a transpercé Satan. Et sous peu, il rendra son dernier souffle.

Noël est synonyme de libération. Libération de la crainte de la mort.

Jésus a pris notre nature à Bethléhem, pour mourir notre mort à Jérusalem, pour que nous puissions être sans crainte dans notre ville. Oui, sans crainte. Parce que la plus grande menace à ma joie a disparu, alors pourquoi devrais-je m’inquiéter au sujet de plus petites menaces ? Comment pouvez-vous dire : «Je n'ai pas peur de mourir mais j'ai peur de perdre mon emploi »? Non. Non. Vous n’y pensez pas !

Si la mort (je disais, la mort — plus de pouls, un corps froid !)— si la mort n'est plus une crainte, nous sommes libres, vraiment libres. Libres de prendre des risques sous le soleil pour Christ et pour l'amour. Nous ne sommes plus esclaves de l’anxiété.

Si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres !